Patrick Quelvennec vous propose son dernier roman, « London calling », dernier volume d’une trilogie parue chez Édilivre.
Résumé :
Dans Quand la guerre cessa d’être drôle, Jean Ingouf, un jeune Cherbourgeois, apprenti charpentier fer à l’Arsenal subit les affres d’une guerre éclaire lancée par Hitler permettant à Rommel d’être aux portes de la ville en moins de quarante jours. Alors que le gouvernement de Pétain a capitulé et que l’occupation Allemande s’organise, il fait la connaissance d’Alice qui œuvre au sein d’un mouvement qui refuse la capitulation et organise des actions de harcèlement visant l’occupant. Après l’échec d’une mission de sabotage visant à désorganiser les nazis dans leur projet de débarquement en Grande-Bretagne, les amants doivent quitter précipitamment la ville et se réfugier au sud de la ligne de démarcation. Dans le second volet de leurs aventures, Mañana, leur exil à Châteauroux est porté à la connaissance d’un officier de l’Abwehr le service de renseignement militaire Allemand. En désaccord sur la conduite à tenir, les amants se séparent. Jean décide de rejoindre l’Angleterre et débute un périple qui lui fait traverser les Pyrénées puis l’Espagne avant de parvenir à Londres. De son côté Alice retrouve ses parents mais devant les risques qu’elle leur fait courir, elle rejoint Dublin se fiant à des hommes peu scrupuleux. London Calling est le troisième et dernier volume de cette trilogie. Alors qu’Alice se met au service d’un homme d’affaires Irlandais peu scrupuleux, Jean rejoint Londres et intègre, au terme d’une formation exigeante, une unité secrète créée par Churchill au début du conflit. Mais leur idylle, loin d’appartenir au passé se nourrit du manque de l’autre et les pousse à chercher à se retrouver enfin. Y parviendront-ils ?