Jeanne Ménard-Marguerie vous propose un nouvel ouvrage.
Présentation :
Certaines régions, formant l’arrière-pays des ports pratiquant la pêche hauturière, étaient très pauvres, à cause d’un sol privé d’engrais. L’arrière-pays Granvillais, Coutançais et Avranchinais recelait une terre ingrate où ne poussaient que seigle et sarrasin. Les paysans s’adonnant à une économie de subsistance, n’étaient guère plus riches que les pêcheurs côtiers.
À l’inverse, certaines fermes, favorisées par l’élevage, travail relativement plus facile, n’avaient pas l’emploi des nombreux enfants mis au monde par la fermière. Il leur fallait trouver du travail. La pêche à la morue était donc un débouché naturel, si l’on était en bonne santé et vaillant.
En réalisant ce modeste ouvrage, l’auteure a voulu rendre hommage à tous ces valeureux marins « Terre-Neuviers ».
Ce livre est conseillé par » Mémoire et Patrimoine des Terre-Neuviers » de Granville.
16 euros